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Les canadiens pourtant ouverts à investir dans l’immobilier on subit un petit refroidissement dernièrement. En effet, en 2013 seulement 13% d’entre eux ont décidé d’investir dans la pierre contre 23% l’année dernière. Mais que c’est-il passé ?

Quand investir dans l’immobilier ?

Normalement les canadiens et plus précisément les québécois achètent relativement tôt, pour ne pas dire dès leur entrée dans la vie active. Mais dernièrement la question se pose d’acheter maintenant ou plus tard ? L’avis est donc partagé avec 49% prêts à investir maintenant, contre 51% préférant repousser cet investissement à l’année prochaine.

Les taux hypothécaires au Canada

Il est assez difficile de connaître quelle direction vont prendre les taux hypothécaires avec ces fluctuations que subit le marché, de par l’actualité économique.
Les Québécois sont encore ici très partagés, 52% pensent que les taux vont se stabiliser alors que 33% pensent qu’ils vont augmenteront. 15% de grands optimistes pensent qu’ils vont descendre encore plus bas qu’ils ne le sont maintenant.

Les prix du marché immobilier canadien

Avec tous ces questionnements, les prix du marché sont en train de subir une baisse. Effectivement, l’incertitude générale est profitable aux investisseurs.
Cette tendance est aussi due aux règles hypothécaires imposées par le gouvernement l’été dernier qui ont subi un resserrement majeur.
Mais rassurons nous cela n’empêche pas les canadiens et plus précisément les québécois de rester enthousiastes à l’idée d’investir dans l’immobilier.

Une aubaine pour les investisseurs canadiens

Le moment est donc propice pour les investisseurs. Il serait dommage de ne pas profiter des prix bas du marché et des taux hypothécaires très attractifs.
On voit donc de plus en plus d’investisseurs étrangers investir dans des nouveaux projets immobiliers dans des grandes métropoles. Dans des villes comme Montréal où l’on voit de plus en plus d’étrangers venir s’installer pour plusieurs années, il est donc intéressant de viser l’investissement locatif. Entrainant, ainsi une augmentation de souscription d’assurance locataire.

On constate donc que malgré les derniers changements économiques le marché de l’immobilier canadien va connaitre un léger ralentissement, mais qui va vite être rattrapé par une augmentation massive de l’investissement personnel et locatif. Par conséquent, le marché va se relancer de lui-même.